🗝️ Les archives akashiques ressemblent à une vaste bibliothèque tissée dans la trame du temps, un lieu où chaque être possède son propre livre, écrit à l’encre subtile de ses expériences, de ses élans, de ses mémoires et de ses possibles. Cet espace n’est pas réservé aux initiés. Il s’ouvre à chacun grâce à un protocole précis, porté par une prière transmise par Don Ernesto Ortiz. Cette ouverture crée un passage vers l’invisible, un souffle qui relie le monde ordinaire à ce qui murmure juste derrière le voile.
🗝️ Avant la séance, vous préparez vos questions. Toutes sont valables, même celles dont on n’ose pas prononcer le nom. Parfois, elles demandent une reformulation douce pour viser juste, comme on ajuste une flamme pour mieux éclairer. La rencontre se déroule tant que les questions ont encore des ailes. Quand elles se posent, la séance se repose.
🗝️ L’accès aux archives d’une personne exige un consentement signé. Une fois la porte ouverte, les informations se présentent de multiples façons : phrases qui apparaissent en un éclair, images qui s’invitent, sensations, couleurs, fragments d’histoire, un prénom, une lignée qui fait signe. Les réponses peuvent surprendre, secouer, apaiser, révéler. Elles mettent en lumière le passé, les dynamiques silencieuses qui travaillent en souterrain, les chemins qui demandent à naître.
Il ne s’agit pas de deviner l’avenir, même si certaines réponses tracent parfois un fil vers ce qui vient. Les maîtres des archives akashiques offrent surtout conseils, éclairages, encouragements. Ils aident à reconnaître les dons restés en veille, les opportunités qui attendent qu’on les prenne par la main, la mission intérieure qui cherche une voie.
🗝️ Une séance dure entre une heure et une heure trente. Un temps suspendu, juste assez long pour écouter ce qui, d’ordinaire, parle trop doucement.
🗝️ Entrer dans ses archives akashiques, c’est accepter que l’invisible réponde enfin à voix haute. Quand vous êtes prêt, les pages s’allument d’elles-mêmes.